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Mardi 16 Avril 2024
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ELF, la pompe Afrique

ELF, la pompe Afrique

Le Grand Parquet, Paris



"Entre le théâtre et la justice, il y a des accointances : il y a une scène, une estrade, des gens qui y arrivent, des audiences qui ressemblent étonnamment à des scènes."


Après avoir assisté à toutes les séances du procès Elf, Nicolas Lambert nous livre en deux heures un raccourci saisissant de cette "affaire" qui aurait pu ébranler l'Etat français jusqu'à son sommet.
D’une analyse rigoureuse, nécessitant un travail de documentation considérable, Nicolas Lambert nous livre sur scène les aspects méconnus, les mystères, les jeux de pouvoir, les ambitions inavouables, la mauvaise foi, ce côté humain, trop humain des hommes de pouvoir. Son spectacle synthétise, hommes, comportements, systèmes, et nous emporte dans un véritable documentaire théâtral.

Avec Nicolas Lambert
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Fiche

Archivé


Informations:
Artiste(s):
Nicolas Lambert

Mise en scène:
Nicolas Lambert

Durée:
2h00

Type de public:
Tout public

Langue:
Français

Lieu :
Le Grand Parquet
20bis rue du département
75018
Paris

à l'affiche
 
Presse:
« Il est tout seul en scène pendant deux heures et il joue tout le procès. C’est bien foutu, c’est drôle, on rigole et puis on comprend quelques choses et puis on réfléchit.
Et ça c’est très intéressant…. » Daniel Mermet - France Inter

« Elf, la pompe Afrique a le mérite de condenser le procès Elf et de le rendre "lisible ". Le résultat est d’une clarté qui était inaccessible même à ceux qui suivaient le procès à travers la presse, semaine par semaine. Thomas Hahn - Cassandre

« Les dialogues sont authentiques, mais on a parfois du mal à le croire tant les accusés pris la main dans le sac font preuve d’une incroyable mauvaise foi pour esquiver les questions du tribunal ». Olivier Languepin - ARTE Journal de la Culture

« Nicolas Lambert a tout retenu : le ton mordant et le regard inquisiteur du président Michel Desplan, la gouaille parfois menaçante d'Alfred Sirven, l'art consommé de parler pour ne rien dire d'André Tarallo, le troublant mélange de suffisance et d'humilité de Loïk Le Floch-Prigent.
Il a saisi ces phrases dignes des meilleurs dialogues d'Audiard, pointé la soudaine pudeur sémantique des prévenus dès lors qu'il s'agissait d'évoquer la "caisse noire" d'Elf et les financements politiques - "l'opaque", "l'occulte", "la cuisine", "ces choses-là"…» Pascale Robert-Diard - Le Monde
 

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